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Je m’énerve, et alors ?!?! 3 bonnes raisons de se mettre en colère

Introduction

Il y a quelques temps de cela, j’ai remarqué que beaucoup de magazines de développement personnel et de psychologies, parlaient de « rester calme en toute circonstance », de la « zen attitude », des « méfaits » de la colère, etc., etc.

Et jusqu’à un certain point je suis d’accord avec tous ces articles. Bien des colères sont inutiles, et bien souvent destructrices. Ne vous est-il jamais arrivé sous le coup d’une grosse colère de dire quelque chose à un proche, et à peine calmé, vous avez regretté les mots que vous aviez prononcé ? Ou alors de faire quelque chose ? Partir en claquant les portes, lancer un livre par la fenêtre, donner votre démission parce que « décidément ce chef est vraiment le dernier des abruti !!! » ? …

Certains comportements peuvent aller jusqu’à la violence physique, et dans ces cas-là il est bien entendu que contrôler, apaiser sa colère, devient très important.

Encore faut-il savoir faire… Et faire d’une manière qui soit écologique pour l’être humain en question… Parce que tout rentrer à l’intérieur, faire comme si de rien n’était, et attendre que ça passe, ça ne marche pas… De la même manière, tout laisser sortir « brut de décoffrage » et mettre une droite à son voisin parce qu’il a (encore !...) claqué sa porte en rentrant à 3h du matin et vous a réveillé, n’est pas forcément très judicieux non plus…

Et néanmoins, il reste quelques moments où je suis convaincue que se mettre en colère est d’une importance capitale. Le côté « moine bouddhiste toujours zen » c’est sympa, mais non seulement c’est une caricature, mais en plus c’est impossible.

Oui, même les plus grands moines bouddhistes ressentent la colère. Seulement ils ont appris à la vivre autrement que nous occidentaux.

Soyons un tant soit peu lucides : si la nature nous a équipé de cette émotion, c’est sans doute qu’elle nous sert à quelque chose… Pas seulement à nous faire râler, pester, ou à nous faire travailler sur nous pour l’éradiquer !

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Comment apparait donc cette émotion ? Qu’est ce qui fait que nous les êtres humains ressentons de la colère ?

Tout d’abord, il est important d’intégrer que la colère, comme toutes les autres émotions d’ailleurs, a un déclencheur. Les émotions ne sont pas issues d’une espèce de « génération spontanée ». Il se passe quelque chose qui, à l’intérieur de moi, génère une émotion.

Le quelque chose en question peut être le comportement d’une autre personne ou une parole, mais peut aussi être une de mes propre pensée. Si je repense à un événement qui m’a beaucoup énervée, il est fort probable que je ressente à nouveau cette colère.

Ce déclencheur a son importance. En effet, il peut nous donner des clés pour canaliser cette colère et lui permettre de s’exprimer d’une manière plus adaptée que les exemples évoqués en introduction.

Pour plus de clarté, faisons un étude de cas. Pour ce faire, je vais vous raconter une anecdote personnelle dans laquelle j’ai vécu intensément la colère. Je ne l’ai pas forcément laissée s’exprimer totalement à ce moment. Et à postériori, je me dis que j’aurai peut-être du 😉  !

Voilà ma petite histoire : cet été, alors que je terminais mes congés annuels dans la maison de vacances de mes parents, je reçois un sms de la femme d’un de mes cousins qui m’annonce qu’un dénommé Jean va dormir chez moi le soir même, parce qu’elle-même et son cher et tendre (mon cousin donc) n’ont pas la place pour l’héberger. Tout d’abord, je suis perplexe… Premièrement, je ne sais pas qui est le Jean en question… Deuxièmement, pour quelle raison accepte-t-elle d’héberger quelqu’un si elle n’a pas la place pour ce faire ?... Troisièmement, prend elle la maison de vacances de mes parents pour un hôtel ? Et pour terminer, un quatrièmement optionnel (😉) , si elle prend la maison de mes parents pour un hôtel, paiera-t-elle la facture ?

Dans un premier temps, je fais une réponse tout ce qu’il y a de diplomate lui expliquant que mes vacances étant terminées,  je quitte la maison le lendemain à 4h du matin. Que j’ai donc tout rangé, fait les lessives, refait les lits, etc. et que je n’ai ni l’intention, ni le temps de tout refaire le lendemain avant de rentrer chez moi.

Ainsi donc, je ne peux héberger le susnommé Jean.

Je reçois un nouveau message me disant : « Il peut dormir chez toi ! Nous on n’a pas de place ! On va pas le faire dormir sur un matelas gonflable alors qu’il y a la maison juste à côté avec des chambres vides puisque tu es toute seule ! Sinon j’appelle ta mère… Mais bon… »

Et là je vois rouge. Je ne sais toujours pas qui est le Jean en question, et je n’ai aucunement l’intention d’héberger quelqu’un que je ne connais pas. Ensuite, j’ai un peu le sentiment d’être la bonne poire de service : j’ai l’impression qu’elle a accepté d’héberger cette personne en sachant pertinemment qu’elle l’enverrait chez moi, comptant sans doute sur le côté « on n’a pas d’autre solution ». Mais elle a dû oublier que j’ai horreur d’être mise devant les faits accomplis…  Enfin, le côté « j’appelle ta mère » me donne l’impression d’être retournée à l’école primaire ou « la maîtresse » menace les enfants de convoquer leurs parents si ils ne se tiennent pas « comme il faut ». Et je dois bien reconnaître que cette stratégie ne fonctionnait déjà pas quand j’étais à l’école, alors maintenant que je suis adulte et moi-même mère de famille, ça fonctionne encore moins… Et cerise sur la gâteau de la colère, à cette époque-là mes parents étaient eux aussi partis en vacances. Chez mon frère aux États-Unis. Quand ma « belle-cousine » a mentionné l’idée de contacter mes parents, je n’ai pas pu m’empêcher d’imaginer la réaction de ma mère qui se serait mise la rate au court bouillon et se serait inquiétée durant tout son séjour, alors que concrètement, elle ne pouvait absolument rien faire pour régler ce différend.

A ce moment-là je n’ai qu’une envie, c’est d’envoyer sur les roses mon cousin et sa femme, et ce sans le tact ni la diplomatie. Toutefois, avant de céder à mon penchant, j’ai pris un instant pour réfléchir : je n’étais pas la seule concernée… Mes parents viennent régulièrement dans cette maison de vacances… Et le cousin et sa femme vivent sur la propriété juste en dessous de la maison familiale… Personnellement, je peux sans aucun problème, vivre à côté de quelqu’un qui ne m’adresse pas la parole. Même si c’est un membre de ma famille. Mais je sais que pour mes parents, ce serait plus difficile à gérer.

Et puisque mon interlocutrice a choisit les comportements manipulatoires dans son échange avec moi, j’optais pour la même stratégie… Connaissant son côté « grippe sou » (l’oncle Picsou en comparaison est un mécène de l’humanité), je lui répondis : « Appelle ma mère si tu veux. Mais je te conseille d’attendre un peu : elle est aux États-Unis et avec le décalage horaire je ne suis pas sûre que tu arrives à l’avoir. Il est encore très tôt là-bas… »

Cela mit fin à la tentative de m’imposer son visiteur. Et aux échanges également. Et comme je l’avais prévu, l’idée de devoir payer un appel international stoppa net toute velléité de mêler ma mère a ce différend qui ne la concernait en rien.

Toutefois cela ne mit pas fin à la colère pour moi. Mais j’y reviendrai plus tard.

Dans cet exemple, quel est le déclencheur de ma colère ?

En fait, il y en a plusieurs : d’abord la tentative de m’imposer un invité que je n’ai pas souhaité. Mais à ce moment, je suis juste un peu agacée.

Ensuite, vient la menace a peine voilée de déranger mes parents. Là je suis vraiment énervée.

Et enfin, il y a mes propres processus internes, mes pensées… Quand je m’imagine que ma mère va être contrariée, que cela risque de lui gâcher son séjour chez mon frère, etc. c’est dans ma tête que cela se passe. Objectivement, je n’ai aucun moyen de savoir si elle va être contrariée ou  non…

 

Le second point dont il faut tenir compte pour apprivoiser et canaliser la colère, c’est que les événements déclencheurs de cette émotion, sont perçus comme indésirables, intentionnels, et heurtant une de nos croyance.

Explorons d’abord le côté indésirable des déclencheurs. En effet, la colère nait de la frustration, d’un sentiment d’incapacité à obtenir ce que l’on souhaite. Dans mon anecdote, la colère nait de ce sentiment que j’ai, de ne pas pouvoir préserver mon espace et mon temps : la femme de mon cousin tente d’empiéter sur mon territoire sans même me laisser l’impression de décider. Comme dit Sigourney Weaver dans Avatar : «C’est pour ça que je déteste les Marines ! Ils nous pissent dessus sans même essayer de nous faire croire qu’il pleut ! ». Je pourrai juste remplacer « les Marines » par «mon cousin et sa femme» et le tour est joué ! 😉

Vient ensuite le côté «intentionnel » du déclencheur, pour lequel il faut noter ses différents degrés :

  • Comportement perçu comme involontaire
  • Comportement perçu comme volontaire mais sans conscience de nuire
  • Comportement perçu comme volontaire avec conscience de nuire

Dans mon histoire, véridique je vous assure, j’ai le sentiment qu’elle le fait volontairement. Après tout, quand son pote Jean lui a demandé de l’héberger, elle devait déjà savoir qu’elle n’avait pas de lit à lui offrir… En ce qui me concerne, quand des amis me demandent de dormir à la maison, je sais si j’ai la place ou  non… Tout comme elle savait qu’il y avait quelqu’un dans la maison juste au-dessus de chez elle… A-t-elle conscience ou pas de nuire ? Je dois dire que je l’ignore. Mais la connaissant, je dirai qu’en fait, elle s’en moque. Elle fait partie de ces gens qui se foutent éperdument de savoir s’ils nuisent aux autres ou pas. Tant que ses besoins, son confort, ses priorités, sont assurés peu lui chaut que les autres soient dérangés.

Et pour terminer, quelle(s) croyance(s) fondamentale(s) ce comportement heurte-t-il chez moi ?

Quand je parle de « Croyances », ici c’est dans le sens PNL (Programmation Neuro Linguistique) du terme. Il n’est pas question de religion ou autre. Seulement d’idées, de choses que l’on croit de manière générale sur nous-même, les autres, le monde.

Dans mon histoire il y a plusieurs croyances qui sont heurtées successivement et qui font que la colère monte de plus en plus.

Dans un premier temps, je vis cette tentative d’intrusion comme un manque de respect : mon cousin et sa femme savaient que je quittais les lieux le lendemain et que je fermais la maison pour plusieurs mois.

Mais cela, je pouvais encore m’en accommoder. Mais vient ensuite le fait que lorsque je réponds par la négative à la demande initiale, je me fais tout bonnement gronder comme si j’avais 5 ans, et menacée d’une punition (convocation de maman chez la directrice).

Pour moi, une demande implique que l’autre à la liberté d’accepter ou de refuser. Sans cela ce n’est pas une demande mais un ordre déguisé. Quand je refuse d’accéder à la demande de mon cousin et de sa femme, je peux constater qu’ils n’attendaient qu’une, et une seule réponse : que j’accepte. Ou est donc ma Liberté de choix là-dedans ? Or la Liberté est une de mes valeurs fondamentale ! Bafouer cette valeur, c’est risqué de s’attirer des foudres conséquentes…

Et s’ajoute à cela le côté infantilisant évoqué plus haut : pour qui se prennent-ils donc pour me menacer de téléphoner à mes parents ? Dans quel système relationnel pensent-ils donc jouer ?

Dans cette étude de cas nous pouvons donc constater que les différents déclencheurs de la colère répondent bien aux trois critères : indésirables, perçus comme volontaires avec plus ou moins intention de nuire, et heurtant plusieurs croyances fondamentales…

 

A quoi nous sert donc cette émotion si controversée et qui peut s’avérer tellement inconfortable et parfois même violente ?

La colère quand nous la ressentons, nous donne des informations importantes et rempli une double fonction.

La première de ces fonction est qu’elle nous prépare au combat. Dans ce cas, il est essentiel de la canaliser pour qu’elle ne se manifeste pas par un passage à l’acte violent…

La deuxième fonction de la colère, même si cela peut sembler paradoxal avec les lignes précédentes, est de nous éviter le combat.  C’est la fonction d’intimidation de la colère. Dans les groupes sociaux, certains conflits peuvent se régler par une soumission de l’un à une attitude de colère intimidante de l’autre. La colère a donc pour fonction d’empêcher certains passages à l’acte.

Vous remarquerez que dans mon anecdote, la colère me prépare en effet à combattre quelqu’un qui tente, par des moyens tout à fait malsain sur le plan relationnel, d’envahir mon territoire. Est-ce que cela « intimide » mes interlocuteurs ou pas ? Je l’ignore et je ne le saurai sans doute jamais. Et d’une certaine manière peu importe puisque j’ai atteint mon objectif et préservé mon espace et mon temps.

Quel(s) message(s) sur nous même et/ou sur le monde cette émotion nous délivre-t-elle ?

La montée d’adrénaline accompagnant la colère nous pousse à l’action. Là où la tristesse nous poussera plus à l’introspection et à la réflexion, la colère est l’émotion qui nous amène à sortir de l’apathie et nous amène à « faire quelque chose ».

Et même si certaines situations ne nécessitent pas forcément de passer à l’action tout de suite, il y en a d’autres ou il devient extrêmement important de savoir se mettre en colère pour agir immédiatement !  

La colère nous parle aussi d’un sentiment d’injustice, de quelque chose que nous vivons comme un obstacle. Et confronté à un obstacle l’être humain à plusieurs options : fuir, contourner l’obstacle ou le surmonter.

Et ce sont ces messages, qui nous donnent les trois bonnes raisons de savoir se mettre en colère que je vous évoquais dans le titre !

  1. Protéger ses frontières des invasions

Dans mon exemple, les frontières que j’ai dû protéger sont surtout matérielles : empêcher l’invasion de la maison de vacance et ce juste avant mon départ. Mais il arrive que ce ne soient pas les seules frontières que nous ayons à défendre… Lorsque les « tentatives d’invasions » vont plus loin, il peut arriver que ce soit notre intégrité physique et/ou mentale et émotionnelle qui soit en jeu. Je pense par exemple à ces personnalités toxiques qui par des manœuvres manipulatoires sournoises et discrètes, amènent leurs interlocuteurs à douter de leur propre valeur, de leurs compétences et savoir-faire, à se déprécier, et ce jusqu’à la dépression parfois !

Je suis convaincue que s’il ne doit y avoir qu’une seule bonne raison de se mettre en colère, c’est celle-ci qu’il faut garder ! Bien sûr, il est important de commencer d’abord par une approche diplomate. Mais quand l’autre ne veut pas respecter vos frontières, utiliser la colère dans sa fonction d’intimidation pour avoir une chance de faire respecter ses limites est essentiel. Sans cela, c’est l’invasion en règle… Et bon courage pour déloger les envahisseurs quand ils se seront bien installés chez vous…

  1. Se dépasser

Comme je l’évoquais plus haut, lorsque l’être humain se retrouve confronté à un obstacle, il a plusieurs choix. Devant une montagne immense qui se dresse subitement sur leur chemin, certains diront « Je laisse tomber, c’est beaucoup trop haut pour moi ». Il s’agit ici d’une stratégie de fuite.

D’autres tenteront peut être de creuser un tunnel sous la montagne. Ou alors de voir si en la contournant on ne pourrait pas s’éviter l’ascension. Il s’agit ici de stratégie d’évitement.

Mais si on veut dépasser ses limites, on va avoir besoin d’une petite (parfois grande) dose de colère pour que, confronté à la frustration de cet événement inattendu et imprévu, nous parvenions à puiser dans nos ressources intérieures et dépasser, surmonter cet obstacle !

  1. Se préserver en laissant sortir

Voici la dernière bonne raison, mais pas forcément la moindre, de se mettre en colère. Un de mes très bon ami dit toujours : « Tout ce qui ne s’exprime pas, s’imprime. »

Le langage des oiseaux est un ancien langage attribué à l’Alchimie au Moyen Âge. Puis au XXème siècle ce langage acquiert une dimension psychologique avec les travaux de Carl Gustav Jung et de Jacques Lacan. Dans ce langage donc, on dit que « tout ce qui ne s’exprime pas avec des mots, s’imprime avec des maux ».

Ainsi donc, une colère refoulée, rentrée à l’intérieur en « attendant que ça passe », s’imprimera quelque part dans le corps. La médecine chinoise associe chaque émotion à un organe (entre autre) et  la colère en particulier est associée au foi. Ainsi une personne dont la colère reste à l’intérieur risque d’avoir le foi perturbé.

Mais si la médecine chinoise ou le langage des oiseaux vous semblent trop « ésotérique », ou « bizarre », je vous invite à réfléchir à ceci. Ne vous est-il jamais arrivé de rentrer à la maison contrarié, agacé, énervé ? La journée a été difficile. Il y a eu cette réunion qui vous a fait perdre du temps alors que vous aviez un dossier urgent à finir. Et puis, alors que vous pensiez avoir tout bouclé, voilà que cet idiot de chef vous donne de nouvelles infos totalement contradictoires avec les précédentes ! Et voilà qu’il vous faut reprendre tout le dossier ! Vous lui auriez bien dit ses quatre vérités, mais il est du genre à se venger à la première occasion, alors… Du coup, vous avez quitté le bureau en retard et vous vous êtes retrouvé dans des embouteillages à n’en plus finir, avec des imbéciles qui ne savent visiblement pas ou se trouve le clignotant sur leur voiture ! Bref une journée ou on se dit qu’on aurait peut être mieux fait de rester coucher…

Et alors que vous pensiez pouvoir vous poser tranquille en arrivant, voilà que votre femme/mari, vous demande un coup de main pour réparer l’étagère qui risque de tomber… Ou les enfants qui ont un problème avec les devoirs. Ou le chien qui a fait ses besoins dans le salon parce que vous êtes rentré plus tard que d’habitude. Ou le téléphone qui n’arrête pas de sonner. Peu importe le déclencheur, là c’en est trop ! La coupe est pleine et vous explosez !

Cet exemple, si ce n’est dans les contenus peut-être est-ce dans la structure, ne vous rappelle-t-il pas des souvenirs ?

C’est ce qui se passe quand on ne laisse pas s’exprimer sa colère au bon moment et au bon endroit… Elle finit par sortir sur des personnes qui n’ont rien à voir avec les causes réelles de notre émotion…

Et c’est ainsi que l’on se retrouve non seulement avec une explosion de colère au mauvais endroit, mais souvent aussi avec un conflit à gérer avec des proches. Et donc bien souvent, une nouvelle couche de colère… D’où l’importance de s’autoriser à exprimer cette émotion ! 😉

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Dans un prochain article, je vous partagerai mes idées sur comment apprivoiser et canaliser sa colère d’une manière qui soit écologique pour tout le monde ! Ou en tout cas, pour le plus grand nombre.

 

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Partagez les moi dans les commentaires ! Je serai ravie d’échanger avec vous ! 😉

 

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